Nous parlons tous du métabolisme, de notre métabolisme, c’est un terme qui fait partie intégrante de notre langage commun. Cependant, savons-nous réellement ce qu’est le métabolisme ?
Qu’est-ce que le métabolisme ?
Scientifiquement, le métabolisme se définit comme l’ensemble des réactions se produisant dans les cellules de l’organisme. Il comprend deux mécanismes opposés, le catabolisme – qui permet d’extraire l’énergie des nutriments, notamment par la dégradation des molécules énergétiques qui se trouvent dans les aliments que l’on consomme (les glucides, les lipides, etc.), et l’anabolisme – il permet de synthétiser les constituants nécessaires à la structure et au bon fonctionnement des cellules (qui se trouvent également dans les nutriments consommés).
Il existe deux sortes de métabolismes dans le corps, le métabolisme basal et le métabolisme en activité.
Le métabolisme basal
Le métabolisme basal de chacun dépend de nombreux facteurs, comme la taille, l’âge, le sexe, ou encore le poids. Il s’agit de l’ensemble des réactions qui permettent de maintenir notre organisme en vie, il assure notre respiration, les battements de notre cœur, l’alimentation de notre cerveau, notre température corporelle, et bien sûr, notre digestion, entre autres.
Le métabolisme en activité
Le métabolisme en activité correspond à l’augmentation de notre besoin énergétique, besoin énergétique qui est nécessaire au bon fonctionnement de l’organisme, lors d’activités physiques notamment. En effet, les muscles, en activité, consomment logiquement plus d’énergie.
Le fonctionnement normal du métabolisme
En moyenne, un métabolisme qui fonctionne normalement est censé consommer entre 1.200 et 2.000 kilocalories quotidiennes, tout dépend des nombreux facteurs évoqués plus haut, la taille, l’âge, le sexe, le poids, etc., cette consommation est donc propre à chacun, et varie d’un individu à l’autre.
Ces kilocalories sont apportées par l’alimentation, et tout surplus est soit stocké, soit éliminé par l’activité physique. L’alimentation est donc une des clés au fonctionnement normal du métabolisme.
L’altération du métabolisme
Le fonctionnement du métabolisme peut être altéré, notamment en cas de carence alimentaire. En effet, le métabolisme, n’obtenant pas son taux de kilocalories nécessaire, s’habitue alors à stocker davantage les aliments consommés. On peut comparer cette réaction à de la « survie », pour pallier le manque, le métabolisme stock, de peur de ne plus recevoir de kilocalories, qui sont, en quelque sorte, l’essence de cette machine.
Les conséquences sont notamment la prise de poids, la baisse d’énergie, la survenance de soucis de santé, ou encore un poids stagnant, toutes ses conséquences sont liées, c’est une sorte de réaction de chaîne.
La prise de poids
En cas de carence alimentaire, le métabolisme se modifie, souvenez-vous, il passe en mode « survie » et commence à stocker plus qu’il ne consomme d’aliments.
La baisse d’énergie
Si le métabolisme ne stocke plus qu’il ne consomme, il n’obtient nécessairement pas les kilocalories nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme et de nos cellules. Rappelez-vous du métabolisme nasal, qui agit directement sur notre respiration, les battements de notre cœur, l’alimentation de notre cerveau et notre digestion.
L’organisme tout entier est donc directement affecté par le mauvais fonctionnement du métabolisme. Il ne reçoit plus l’alimentation nécessaire, et ce dans tous les sens du terme.
Cette baisse d’énergie fait que vous serez plus enclin à tomber malade, votre métabolisme, trop occupé à stocker, plutôt qu’à extraire l’énergie des nutriments, n’est plus capable d’apporter à votre organisme et vos cellules, l’énergie nécessaire afin de combattre les agressions extérieures. C’est la réaction de chaîne dont je vous parlais à l’instant.
Le poids stagnant
Vous savez ce qu’on dit tous : « les 3 derniers kilos à perdre, sont les plus durs », et il y a bien une raison scientifique à cela.
En effet, lorsque l’on fait un régime, on a tendance à réduire notre alimentation, et à augmenter notre activité physique. Cependant, plus nous sommes en mouvements, plus notre métabolisme est censé consommer de kilocalories, afin d’extraire l’énergie des nutriments, et donc il a nécessairement besoin de plus d’aliments.
Un métabolisme en carence d’aliments est un métabolisme qui stocke, qui n’élimine pas / plus, c’est donc ce qui explique ces « 3 derniers kilos » qui ne disparaissent pas.
Comment aider le métabolisme à retrouver son fonctionnement normal
Une bonne alimentation, tout ce que je vous ai dit nous ramène à ça, l’alimentation, l’essence même de la machine qu’est notre métabolisme. Une bonne alimentation, entre 1.200 et 2.000 kilocalories quotidiennes, variant selon l’âge, le sexe, la taille et le poids, est le secret d’un métabolisme qui consomme les nutriments afin d’en extraire l’énergie, et qui ne stock pas.
Cette « bonne alimentation » est une alimentation saine, équilibrée, où fer, vitamine B, fibres, entre autres, se rencontrent.
Les lentilles, par exemple, sont pleines de fer, les brocolis, sont pleins de fibres, mais pas seulement, le son d’avoine également. C’est une très bonne solution également, il se soupoudre sur tout, même votre salade !
Quant à la vitamine B, le maca est une bonne alternative. La maca est une plante aux multiples bienfaits, la poudre de maca est la forme la moins transformée de maca que l’on peut trouver sur le marché, son goût se rapproche de celui du caramel. Sous cette forme, elle peut être intégrée dans vos boissons, ou encore dans vos préparations culinaires. Sinon, il existe les gélules ou les comprimés, à utiliser comme complément alimentaire.
L’effet de la méthode Renata França sur le métabolisme
Le drainage lymphatique de la méthode Renata França permet de booster votre métabolisme, et de l’aider à reprendre son fonctionnement normal, le cas échéant.
Grâce à la stimulation globale du drainage lymphatique, produite par la pression effectuée lors des séances, sur l’intégralité du corps. Les nutriments stockés par le métabolisme reprennent leur cours normal. Quant au métabolisme lui-même, il recommencera à en extraire l’énergie nécessaire à l’organisme.
Comments